STRAtégies d'Enseignement
- Enseigner aux élèves qui ont la dyscalculie peut être un défi. Surtout si vous les enseignez dans une langue seconde. Il est important de planifier chaque leçon avec des stratégies spécifiques pour aider l'élève dyscalculique. Ce n'est pas nécessairement une question de répéter la même leçon plusieurs fois ou de placer l'élève en avant dans la classe, c'est plutôt une question de leur donner les outils nécessaires pour aborder les activités de classe afin qu'ils puissent faire de progrès.
- Premièrement, l'élève doit avoir une connaissance de son façon préféré d'apprendre. Est-il un apprenant visuelle/spatiale, kinesthétique, analytique, interpersonelle ou verbale (Gardner, 1983)? Vous pouvez faire quelques tests diagnostiques au début de l'année pour tous les élèves de la classe afin d'avoir une connaissance plus spécifique de chaque personne.
- De plus, c'est important de développer chez l'élève un sens de reconnaître les étapes de son apprentissage. C'est-à-dire, qu'il peut reconnaître comment il apprend.Dessous vous verrez un tableau du ministère de l'éducation de l'Ontario qui explique comment l'enseignant de FLS peut aider leur étudiants à se préparer pour chaque tâche. En utilisant cette liste, l'élève dyscalculique produira des actes de <<métacognition>>(p.3). Avoir une meilleure compréhension de leur propre apprentissage aidera l'étudiant non seulement à améliorer son travail en mathématiques maintenant, mais l'aidera aussi a savoir ce qu'il doit faire pour réussir en maths dans l'avenir.
Directives pris du manuel du ministère de l'éducation de l'Ontario A Guide to Reflective Practice for Core French Teachers: Learner Autonomy and Metacognition (p.3)
De plus, c'est essentielle d'utiliser des stratégies qui permettent aux élèves souffrant du dyscalculie d'être tactile et d'être capable de voir les liens entre les idées. Surtout, les stratégies devront aider à enlever l'anxiété de l'élève. Apprendre les maths pour quelqu'un dyscalculique et de plus dans une langue seconde peut être très dur et parfois effrayant. Souvent, les élèves ont l'idée qu'ils doivent tous savoir dans la langue seconde pour être capable de répondre ou de demander une question en classe (Donley, p.138). Cette hypothèse fait partie de ce qui conduit les étudiants dyscalculiques de garder le silence en classe et donc de continuer à lutter en silence. Les enseignants doivent garder en tête que l'objectif est que l'élève s'améliore en mathématiques dans une langue seconde. Pour que cela se réalise, étudiant doit se sentir à l'aise.
Dr. Linda Silbert et Dr. Alvin Silbert, auteurs du manuel Dyscalculia Toolkit, suggèrent les stratégies suivants pour encourager votre étudiants dyscalculique.
VOICI QUELQUE STRATEGIES CI-DESSOUS:
- Si un enfant ne peut pas conserver les numéros dans la colonne appropriée, mettez le papier ligné sur son côté ou utiliser du papier quadrillé.
- Demander à l'enfant de couvrir toutes les zones de la page qu'il ou elle ne travaille pas. Cela aidera l'enfant à se concentrer sur la partie important où il/elle doit compléter le travaille (sans se laisser être distraire).
- Laissez l'enfant utiliser une calculatrice
- Cercler (et encourager l'enfant à cercler) le << + >> et << = >> les signes avant de completer l'équation.
- Code couleur << faits de famille >> . Ex: 2 +3 = 5, 3 +2 = 5, 5-2 = 3, 5-3 = 2 (point culminant en vert) 3 +4 = 7, 4 +3 = 7, 7-3 = 4, 7-4 = 3 (point culminant en bleu)
- Laissez aux enfants de compter sur leurs doigts et / ou tapper sur le bureau lors du comptage. Ex: Vous pouvez demander à l'enfant de trouver la réponse à 8-3 = En utilisant ses doigts, l' enfant peut lever un doigt chaque fois qu'il compte afin de trouver la réponse (7, 6, 5, 4, 3 (5 doigts sont maintenant levés).
- La résolution de problèmes peut être très difficile pour les étudiants. Si possible, laissez-les dessiner sur l'image. Cela peut aider à la carte visuellement les événements de la question.
(Silbert et Silbert, p.4-5)